hypnose ariege - florent carrié
hypnose ariege - florent carrié

Ma formation

Certifié en hypnose ericksonienne de l’Institut de Formation et de Recherche en Hypnose Thérapeutique de Toulouse (I.F.R.E.H.T), je suis convaincu de l’utilité et de l’efficacité de cette approche et passionné par la rencontre avec l’Autre et l’investigation du processus de guérison.

Aujourd’hui mon accompagnement s'articule autour de deux axes, la pratique de l’écoute empathique à travers la reformulation et le questionnement d’une part et celle de l’hypnose éricksonienne d’autre part.

Tremble mais avance

En fin de compte, il n'y a pas d'échappatoire au réel.

La vie est à vivre pas à penser.

Comment alors lui faire face et l'embrasser et dès lors sortir de la répétition inconsciente et automatique de certains schémas du passé ?

Ré-initialiser le système, en quelque sorte sans en avoir l'air, c'est tout l'objet de l'hypnose.

J'aime l'idée de la Singularité de chaque être ou parcelle de vie sur cette planète. Les bosses et les cabosses de chacun, comme sa lumière et son génie propre sont aussi ce qui le rend unique et attachant.

Tel Ulysse dans l'Odyssée chacun rencontre les défis et épreuves qui vont lui permettre de se révéler à lui-même et d'ouvrir son coeur. Au fond ne s'agit il pas d'accueillir toutes les parties de nous mêmes y compris ces plus sombres souvent symbolisées par des monstres archétypaux ? Et de faire retour à l'expèrience de soi la plus intégrée.

Et grandir en humanité, en humilité, en vitalité joyeuse. Il nous revient alors de nourrir le bon, le beau, le juste. Tout simplement, tout naturellement.

Inspirations / Citations

hypnose ariège - florent carrié

Aédàn

« C’est Nisargadatta qui disait que vous pouvez être un saint, vous pouvez être un pêcheur, cela importe peu : la question, c’est d’être un saint, c’est de pêcher de tout son cœur, de tout son être. Ce qui est spirituel, pour moi, c’est d’être qui vous êtes, où vous êtes, sincèrement. D’où la poésie, qui est un exercice d’amour et de sincérité. Le reste, vraiment, ce sont des propos de curés, de presbytères, des propos de paroissiens. »

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Nisargadatta Maharaj

« A quoi que vous accédiez, ce sera un rêve. L'idée même d'aller au-delà du rêve est illusoire. Pourquoi aller quelque part ? Réalisez simplement que vous révez d'un rêve que vous appelez le monde, et arrêtez de chercher des moyens de vous en sortir. Le rêve n'est pas votre problème. Votre problème c'est que vous aimez une partie de votre rêve et pas une autre. Aimez tout ou rien du tout, et arrêtez de vous plaindre Quand vous avez vu le reve comme un reve, vous avez fait tout ce qui devait être fait. »

hypnose ariège - florent carrié

Roberto Juarroz

« N'avoir d'autres objectifs que les mains ouvertes et les écarts inévitables de la boussole non pour les corriger mais pour nous lacer en eux justement.
Là ces ombres que nous sommes trouveront les routes nécessaires pour déceler dans le temps les traits de cet invraisemblable songe.
Seuls les chemins perdus et les voyages inverses font place aux songes impossibles et conduisent au port. »

hypnose ariège - florent carrié

F.Roustang “il suffira d’un geste”

« Ne plus penser, c'est ne plus avoir de pensées distinctes, les laisser se mélanger les unes aux autres, ne pas leur permettre d'émerger selon des contours précis, et chaque fois que l'une d'elles risquerait de se former dans sa différence, l'effacer. En d'autres termes il s'agit de cultiver la confusion. Or, à la faveur de cette confusion, la pensée se rend meuble et souple, elle s'insinue dans le corps pour ne plus s'en distinguer. »

Satprem

« On s'aperçoit qu'il suffit de faire un pas en arrière dans sa conscience, juste un petit mouvement de retrait, et l'on entre dans une étendue de silence par-derrière. Comme s'il y avait un coin de notre être qui avait les yeux à jamais fixés sur un grand Nord tout blanc. Le vacarme est là, dehors, la souffrance, les problèmes, et on fait un léger mouvement intérieur, comme pour franchir un seuil, et, tout d'un coup, on est en dehors (ou en dedans ?) à mille lieues et plus rien n'a d'importance, on est sur des neiges de velours. L'expérience finit par acquérir tant d'agilité, si l'on peut dire, qu'en plein milieu des activités les plus absorbantes, dans la rue, quand on discute, quand on travaille, on plonge au-dedans (ou en dehors ?) et plus rien n'existe, qu'un sourire — il suffit d'une fraction de seconde. Alors on commence à connaître la Paix; on a un Refuge inexpugnable partout, en toutes circonstances. Et on perçoit de plus en plus tangiblement que ce Silence n'est pas seulement au-dedans, en soi; il est partout, il est comme la substance profonde de l'univers, comme si toute chose se détachait sur ce fond, venait de là, retournait là. C'est comme un creux de douceur au fond des choses, comme un manteau de velours qui enveloppe. Et ce Silence n'est pas vide, c'est un Plein absolu, mais un Plein sans rien dedans, ou un Plein qui contient comme l'essence de tout ce qui peut être, juste avant la seconde où les choses vont naître — elles ne sont pas là, et pourtant elles sont toutes là, comme une chanson pas encore chantée. »

F.Roustang “Savoir attendre pour que la vie change”

« Il est facile de comprendre pourquoi ce sentir propre au vivant est le lieu de la modification. On peut le montrer de plusieurs façons. Lorsqu'on supprime le contrôle de la conscience et de l'intellect, on laisse libre cours non pas à l'inconscient, mais à une sensorialité qui ébranle la fixité de notre appréhension habituelle des choses et des êtres. Le mal-être, quelle que soit sa forme, relève toujours de la rigidité et de l'étroitesse. Or ce sentir se caractérise par une circulation incessante, une mise en communication et en correspondance. En d'autres termes, si nous allons mal, c'est que nous ne voyons pas, que nous n'entendons pas, que nous ne sentons pas. En nous immergeant dans le sentir sans réflexion, nous réapprenons la finesse et la perspicacité du sentir. La solution de nos problèmes se trouve au-dehors, dans une appréhension nouvelle de notre situation. Pour cela, il s'agit de laisser venir à nous tout ce qui est alentour. Ce sentir propre au vivant est d'abord un laisser se mélanger toutes les données et ensuite une attente que tout retrouve sa place. Cela a lieu parce que le sentir est celui d'un vivant et donc d'un organisme qui, bouleversé un instant, revient à son point d'équilibre. Notre situation dans l'existence dépend de trop de facteurs pour que nous soyons capables de les appréhender par un effort d’intelligence explicite. Celle-ci est toujours d’une manière ou d'une autre, trop unilatérale. La sensorialité première, logiquement antérieure à celle que nous connaissons en dehors de la transe, tient compte à la fois de tous les éléments capable d'aboutir à une refonte de notre position actuelle… »